Les fondements de la liberté sociale et de la prospérité.

Par Denis Peacocke.

1. Tous les êtres humains ont une valeur et une dignité car ils ont été créés à l’image de Dieu. La théorie de l’évolution athée détruit la valeur de l’humanité car elle suppose que l’homme n’est rien que le produit de forces chimiques et sociales.

 

 

2. Le racisme, le sexisme, la lutte des classes et les préjugés humains transforment les personnes en objets. Il est ainsi plus facile de les opprimer, les asservir et les détruire.

 

 

 

3. Les institutions de l’état et de l’église doivent être séparées. La tyrannie prend place quand soit l’état, l’église, le milieu des affaires, ou n’importe quel groupe social essaie d’enlever les droits des autres groupes sociaux.

 

 

 

4. Chaque loi et politique publique a une nature « religieuse » car elle tente de définir le bien, le mal, la justice, l’injustice et les pénalités pour avoir désobéi à l’état. C’est pourquoi, accuser la religion d’influencer les lois d’une nation comme

 

un acte politique abusif, est hypocrite et injuste.

 

 

 

5. Toute personne est « religieuse » car elle vit selon des valeurs et des opinions. La vraie religion est basée sur le sacrifice de soi-même, l’amour pour les autres et un engagement à voir toutes les personnes maximiser leur potentiel, leurs dons et

 

leurs situations.

 

 

 

6. L’unité de la famille est la pierre angulaire d’une société saine. Les familles saines engendrent des enfants sains qui permettent une société productive. Par conséquent, les lois qui affaiblissent la famille affaiblissent la nation.

 

 

 

7. L’autonomie est le principe fondateur de toute liberté. Plus un peuple devient autonome, moins les lois publiques sont nécessaires et le besoin de prisons et de services sociaux diminue. Pour être vraiment libre, la nation doit entraîner et encourager ses citoyens dans la responsabilité et l’autonomie.

 

 

 

8. La pauvreté est en premier lieu le résultat de l’ignorance, d’une mauvaise gestion et d’un emprisonnement générationnel dans la pauvreté. C’est pourquoi la société entière doit s’engager avec détermination dans l’éducation, l’embauche et la construction familiale des pauvres. Cela demande les efforts conjoints du gouvernement, des secteurs privés et des églises. Sans ces efforts conjoints, les systèmes de protection sociale ne font qu’asservir les personnes et créer une bureaucratie coûteuse. L’investissement humain demande une économie stimulant et la participation de tous les secteurs.

 

 

 

9. La liberté de presse et de religion, le droit d’assemblées licites ; le droit à un jugement équitable par un jury constitué de pairs et la protection de la vie et de la propriété d’autrui doivent être maintenus pour qu’une nation devienne ou reste prospère et libre.

 

 

 

10. Les nations endettées finissent esclaves des autres nations ou de leurs institutions financières. La création d’un capital interne, de budgets équilibrés, et la concentration sur un gouvernement fort et décentralisé autant que possible favorisent autonomie, indépendance, dignité humaine et liberté pour les nations à vivre leur propre destinée sous le regard de Dieu.

 

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